|FR| “Un dimanche entre l’hiver et le printemps, 8 heures du matin et tout bascule”
Le roman de Nicolas Pascarel est disponible (mai 2017), en tout 240 pages, format poche.
Le narrateur est un Cubain d’origine française, Nicolas Pascarel. Il vit dans le quartier du Vedado, à La Havane. Du haut des 12 étages de son appartement, de 1962 à 2016, il décrit son quotidien et les événements de cette ville qu’il aime. Nicolas est le directeur du musée Napoléon de La Havane, un musée poussiéreux et oublié de tous. Sa vie est parsemée d’aventures romanesques et nostalgiques. Pour s’échapper et rêver, il a une seule véritable amie, qui l’accompagne tout au long de ce récit, sa Lada, une voiture russe plutôt poussive. Il a pour ennemies, les nombreuses concierges qui vont tout au long de ces 54 années se présenter au pied de son immeuble. Elles représentent, pour lui, le pouvoir, l’autorité et l’absurdité du système. Le roman commence en 1962 à la façon d’un polar de série B, un peu surréaliste, parfois excessif comme sur un air de Tarantino. Cette aventure s’arrête d’un coup sec à la 34ème page et on retrouve Nicolas en 1978, dans un autre décor. Il commence alors le journal intime d’un homme pris dans le surréalisme du système. Un quotidien rocambolesque, parfois loufoque mais surtout mélancolique et qui prendra fin avec sa mort, en 2016.
|EN| “A Sunday between winter and spring, eight in the morning and all rocking.”
The Cuban novel of Nicolas Pascarel, May 2017
The narrator is a Cuban of French origin, Nicolas Pascarel. He lives in Vedado, a quiet district of Havana. From the 12th floor of his apartment, between 1962 until 2016, he depicts his daily life and events in this city that he loves. Nicolas is the director of the Napoleonic Museum, Havana, a dusty museum forgotten by all. His life is full of romance and nostalgia. To escape and dream, he has only one true friend, who accompanies him throughout his narrative, his Lada, a rather fickle and rusty russian car. The plot has enemies, in the form of the many caretakers who throughout these 54 years come to the foot of his building. To him they represent power, authority and the absurdity of the system. The novel begins in 1962 in the manner of a series B thriller, a little surreal, sometimes excessive, the same air of a Tarantino movie. This adventure stops on the 35th page and we find Nicolas in 1978, in another setting, where he begins the diary of a man caught up in the surrealism of the system. A fun daily, sometimes zany but mostly melancholic that will end with his death in 2016.
Titre : “Un dimanche entre l’hiver et le printemps, 8 heures du matin et tout bascule”
Auteur: Nicolas Pascarel
Édition: The Passenger Photography
Couverture et design: Luís Pinto. 1er edition mars 2017
Info: npascarel@hotmail.com
www.pascarelphoto.com
Mobile: +39 3405014561